C'est la crise pour tous !
In advance of tax day in the U.S., here is a bit of French humor. I will translate it some day, when I feel like it.
La crise économique, on en sent toujours les effets :
Les boulangers ont des problèmes croissants.
Chez Renault la direction fait marche arrière, les salariés débrayent.
À EDF les syndicats sont sous tension.
Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce, ils en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs c'est une tuile.
Les menuisiers sont payés avec des chèques en bois.
Les kinés se massent devant les grilles de l'hôpital en revendiquant.
L'on raconte des salades aux épiciers.
Le salaire des coiffeurs frise le ridicule.
Les cyclistes sont mis au régime sans sel.
Les teinturiers meurent à la tâche et sont payés au rabais.
Les faïenciers en ont raz le bol.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots menacent d'occuper les locos ; ils veulent conserver leur train de vie.
Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.
Les pédicures travaillent d'arrache-pied pour de faibles revenus.
Les ambulanciers ruent dans les brancards.
Les pêcheurs haussent le ton.
Les imprimeurs sont déprimés et font mauvaise impression.
Sans oublier les cafetiers qui trinquent.
Bref ! C'est la crise...
La crise économique, on en sent toujours les effets :
Les boulangers ont des problèmes croissants.
Chez Renault la direction fait marche arrière, les salariés débrayent.
À EDF les syndicats sont sous tension.
Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce, ils en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs c'est une tuile.
Les menuisiers sont payés avec des chèques en bois.
Les kinés se massent devant les grilles de l'hôpital en revendiquant.
L'on raconte des salades aux épiciers.
Le salaire des coiffeurs frise le ridicule.
Les cyclistes sont mis au régime sans sel.
Les teinturiers meurent à la tâche et sont payés au rabais.
Les faïenciers en ont raz le bol.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots menacent d'occuper les locos ; ils veulent conserver leur train de vie.
Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.
Les pédicures travaillent d'arrache-pied pour de faibles revenus.
Les ambulanciers ruent dans les brancards.
Les pêcheurs haussent le ton.
Les imprimeurs sont déprimés et font mauvaise impression.
Sans oublier les cafetiers qui trinquent.
Bref ! C'est la crise...
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