Lamoura dans Jura


Dans la lettre XIV à Leïla Sebbar dans Lettres parisiennes, Nancy Huston commence par un calembour intérressant : « Je ne Jura que par Lamoura. » Mais comment traduire ça ? Je pense toujours à l'anglais, mais dans n'importe quelle langue il y a du moins deux éléments à garder : la rime (c'est-à-dire préserver quelque forme de rime, pas forcément la rime française qui est masculine et pauvre) et bien sûr les mots à double sens, ce qui fait le calembour (des noms géographiques qui représentent en même temps des abstractions).

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